La blockchain est une technologie de stockage et de transmission d’informations transparente et sécurisée qui fonctionne sans organe central (définition de Blockchain France).

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Auro Earth

Auro Earth is a Cloud Co-Workshop that aims to eliminate international barriers for artisans in the micro-enterprises sector around Europe to make their businesses sustainable in terms of economy, society, and environment.


 

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Paprwork

Paprwork est une solution innovante SaaS qui permet à ses clients de collecter des documents et données personnelles dans le respect des réglementations européennes.

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REALMEAL

Nous travaillons sur une plate-forme peer-to-peer basée sur la blockchain pour les investissements dans les petites et moyennes exploitations. Nous croyons que la blockchain est l’avenir des systèmes financiers décentralisés, ce qui résoudra le problème de la confiance entre les parties et la transparence des systèmes financiers. En un mot, le RealMeal est un « kickstarter pour les agriculteurs » basé sur la blockchain.

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MooM

MooM, la première plateforme de seconde vie multi-marques et enseignes, citoyenne et responsable. De l’achat au recyclage, MooM est une solution concrète et complète. Les entreprises et les citoyens reprennent le contrôle de la vie et de l’empreinte écologique de leurs produits.

Economie Circulaire, Seconde Main, Plateforme communautaire , Stratégie RSE, Digital, Retail, Marques et Consommation responsable

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CollecOnline

La boîte à outils digitale des collectionneurs et amateurs d’art

De la collection de monnaies antiques, aux œuvres digitales (NFTs)… il n’y a qu’un pas ! Que CollecOnline s’est permis de franchir avec sa solution innovante d’inventaire et partage d’objets d’art et de collection !

Galerie en ligne publique ou privée, et depuis peu galerie virtuelle sur le metaverse Decentraland, CollecOnline met en valeur les trésors passés, présents et futurs de manière ludique et innovante !

Nous pouvons décrire notre plateforme comme un savant mélange de solution de gestion de collection et de réseau social. A contrepied de la tendance actuelle du « contenu jetable », les sujets et objets postés sur CollecOnline sont savamment archivées grâce à une arborescence de classement extrêmement pointue, permettant ainsi de pérenniser toutes les informations saisies.

Forte d’une communauté de plus de 10 000 collectionneurs et déjà 200 000 objets publiés, CollecOnline propose un système d’abonnement sur sa plateforme permettant de profiter de services innovants en sus des fonctionnalités gratuites.

Nos principales fonctionnalités :

  • Inventaire de ses objets d’art et de collection
  • Gestion de la confidentialité : objets publics ou accès restreint
  • Gestion des informations d’achat : facture, certificat d’authenticité, estimation…
  • Outils de communication : mur d’actualité, messagerie interne, blog…
  • Outils de traçabilité avancés basés sur une technologie Blockchain
  • Référencement naturel (SEO) optimisé du socle technique à la rédaction du contenu

Le passage au digital est un enjeu crucial pour l’ensemble du domaine de la culture. La dématérialisation et la traçabilité deviennent des enjeux de société et sont déterminant afin de garantir l’accès et la sécurité de toute collection. De nombreux musées, fondations, collectionneurs privés et associations possèdent dans leurs coffres, greniers et armoires des merveilles malheureusement invisibles et manquant cruellement de documentation.

 

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Utocat

Éditeur de logiciels Blockchain pour le secteur financier.

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Elle permet de réaliser des transactions entre deux parties, inviolables et inaltérables une fois écrites. C’est une technologie sécurisée, décentralisée et impossible à falsifier. Avec la blockchain, la totalité des échanges sont conservés. L’historique ainsi verrouillé permet une traçabilité totale et les données une fois écrites ne peuvent être modifiées. Elle est fréquemment mentionnée dans le secteur de la banque et des assurances mais peut s’appliquer à tous les cas d’usage liés à tout type de transmission d’informations sensibles. On appelle cela la blockchain en anglais car l’information est stockée dans une chaîne de blocs collés les uns aux autres et indépendants. Pour fonctionner, la blockchain a besoin que des puissances de calcul soient mises à sa disposition. Elle va puiser dans cette puissance de calcul pour faire certifier la validité des transactions réalisées. On appelle les personnes qui mettent de la puissance de calcul à disposition de la blockchain des “mineurs”. Ils sont remerciés et rémunérés en crypto monnaie (monnaie électronique). Plus les mineurs sont nombreux, plus la puissance de calcul disponible est importante, plus le nombre de transactions vérifiées est important, plus les utilisateurs de la blockchain qui confient leurs informations sensibles sont en confiance pour utiliser la technologie. On distingue trois types de blockchain différentes : la blockchain publique, la blockchain privée et les blockchain dites de consortium. Les blockchain publiques sont ouvertes à tous, les blockchain privées peuvent être consultées par tous mais utilisées par les seules personnes autorisées par le propriétaire de la blockchain. La blockchain de consortium peut être la propriété de plusieurs personnes qui peuvent en modifier les droits et le protocole. 

 

La monnaie bitcoin fait partie des technologies blockchain les plus connues. Elle a participé à sa réputation. Créée en 2008 par une personne qui se fait appeler Satoshi Nakamoto, le bitcoin est accessible à tous, sous réserve de la création d’un portefeuille virtuel. La monnaie est actuellement en concurrence avec une autre monnaie plus récente, du nom d’Ethereum et créée en 2014. Ces monnaies ont un cours très changeant et peuvent s’effondrer ou grimper de valeur d’un jour à l’autre. Investir dans une crypto monnaie n’est à ce jour pas un investissement sûr ni contrôlé par une autorité de régulation. Pourtant, en 2017, le bitcoin a été officiellement reconnu par le Japon comme moyen de paiement légal.  

 

Les technologies de la blockchain  

 

La Blockchain est une alternative du futur aux banques en ce sens qu’elle ne nécessite pas de tiers de confiance pour qu’un capital soit sécurisé. Elle fait office de coffre-fort. A certains égards, cela confère à la blockchain le pouvoir potentiel de venir bousculer les prérogatives régaliennes des institutions en ce sens qu’elle peut assurer à leur place le rôle de tiers de confiance tout en restant aux mains des individus.  

 

Les startups technologiques de la blockchain en France s’intéressent à plusieurs de ces champs d’application, avec en tête de file les cryptomonnaies. Elles conçoivent des solutions en rapport avec le fonctionnement de la blockchain, comme des places de marché autour de la puissance de calcul, des espaces de stockage et des solutions autour des cryptomonnaies (convertisseurs de cryptomonnaies, portefeuilles d’investissement en cryptomonnaie,…). Elles proposent également des services bancaires, divers services liés à la certification (signature numérique, récolte d’avis clients certifiés) et à la protection des données. Il est désormais possible de transférer des titres de propriété financiers et de les faire vérifier grâce à la blockchain. Cette autorisation émane d’une ordonnance de 2017 effective depuis le 1er juillet 2018 et intégrée à l’article 120 de la loi Sapin 2 du 9 décembre 2016. Cela concerne uniquement les titres financiers qui ne nécessitent pas d’intermédiaire 

 

De nouveaux services devraient émerger qui ne seront pas forcément concentrés autour de la finance dans les années à venir. En 2016, un Américain a envisagé un service de VTC (véhicules de tourisme avec chauffeur) dont les transactions passeraient par la blockchain. Le service n’a jamais décollé mais d’autres géants du VTC s’intéressent à cette éventualité. La blockchain permet aussi de s’assurer du partage de messages privés qui soient complètement sécurisés et qui ne puissent pas être consultés ou utilisés par un tiers et donc ne pourraient pas servir un but lucratif ou être “espionnés, ce qui est souvent reproché aux géants du web et aux concepteurs de réseaux sociaux. Le plus étonnant avec la blockchain, c’est qu’elle remet l’information aux mains des individus et qu’elle leur offre d’assurer le même rôle qu’une entité tiers de confiance, simplement grâce à la puissance de calcul. Que deviennent les entreprises du web qui nous assurent que les transactions menées ont bien été vérifiées et qu’une vente peut avoir lieu en toute sécurité si nous n’avons plus besoin d’eux ? A condition de s’appuyer sur des technologies de blockchain, les entreprises pourraient récupérer à leur compte la valeur créée plutôt que d’avoir à passer par des intermédiaires. Cela nourrit un grand nombre de fantasmes et apparaît comme une concurrence future avec les géants du web mais aussi avec les institutions. Pour passer à une phase d’industrialisation avec la blockchain, il faudra en passer par la démonstration de son bon fonctionnement et impliquer les citoyens dans le partage de puissance de calcul pour la faire tourner pour qu’elle puisse prendre de l’ampleur. 

 

Les profils de la blockchain dans les startups  

 

Les startups technologiques qui recrutent sur le secteur de la blockchain recherchent des ingénieurs de recherche, des développeurs spécialisés dans les technologies de la finance et dans le fonctionnement de la blockchain, des experts juridiques et financiers. C’est un métier qui fait partie des deeptech, les startups technologiques qui développent des innovations à la pointe qui façonneront notre futur. Le métier est encore en phase de R&D (recherche et développement) et pourrait bien créer de nouveaux emplois dans un futur proche. C’est une technologie à surveiller de près et nulle doute qu’elle va alimenter les débats des conférences technologiques pour les années à venir tant les usages qu’elle peut générer sont à la fois simples, efficaces et économiques et révolutionnaires à la fois.